mardi 3 décembre 2013

L’Europe ressort de vieux arguments contre la cigarette électronique ; non fondé comme nous le prouve la Suède

La cigarette électronique sur TOP CIGARETTE ELECTRONIQUE

Bonjour à tous!

L'équipe TOP CIGARETTE ELECTRONIQUE vous souhaite un bon début de semaine!

Malheureusement pour ce début de semaine nous avons une mauvaise nouvelle.

Effectivement, l'Europe ressort de vieux arguments contre la cigarette électronique, qui ne sont bien entendu pas fondé, comme nous le prouve la Suède!

Si vous souhaitez avoir plus d'information concernant cela n'hésitez pas à lire l'article du site www.rue89.com ci dessous :

"L’Europe ressort de vieux arguments contre la cigarette électronique

La commission et le Parlement européens s’opposent sur le statut de la cigarette électronique. La Commission européenne envisage notamment d’interdire l’utilisation des atomiseurs rechargeables. Au final, les bonnes intentions limitent son potentiel pour en faire un produit du tabac. Pourtant, son libre essor pourrait sauver beaucoup de vies.

L’exemple suédois est probant

Quand l’Union européenne a banni les snus en 1992 (en dehors de la Suède), les arguments étaient les mêmes que ceux que l’on entend contre la cigarette électronique aujourd’hui : on ne connaît pas leur danger à long terme et ils pourraient favoriser l’initiation au tabagisme des adolescents et augmenter le nombre de fumeurs.

Les snus sont des petits sachets de tabac que l’on place contre la joue. En l’absence de combustion, ils ne produisent aucun des trois grands fléaux de la cigarette classique, c’est-à-dire pas de goudrons (responsables de cancers), pas de monoxyde de carbone (responsable d’infarctus), et pas de particules fines solides (responsables de bronchopathies chroniques). Comme les snus, les cigarettes électroniques ne produisent pas de combustion, et donc aucun de ces trois grands fléaux. A la différence des snus, elles ne contiennent pas du tout de tabac.

En Suède, où la consommation des snus est très importante, on observe deux fois moins de mortalité par cancers du poumon qu’en France, soit 29 cas sur 100.000 habitants, contre 57 en France (chiffres 2009, base de données de l’OCDE sur la santé 2011). Il a même été montré que pour un fumeur, changer ses cigarettes contre des snus avait le même impact positif sur l’augmentation de la durée de vie qu’arrêter de fumer. 

L’e-cigarette encore plus prometteuse

En Suède, 17% de la population fume aujourd’hui, soit deux fois moins qu’en France. Les snus nous ont donc confirmé que les craintes des experts et des politiques européens étaient infondées : la réalité fut moins de cancers et moins de fumeurs.

Aujourd’hui, la cigarette électronique est encore plus prometteuse. Le nombre de ses utilisateurs ou « vapoteurs » double chaque année et a dépassé le million et demi cette année dans l’Hexagone. Dans le même temps, les ventes de tabac ont chuté en France de 9% depuis le début 2013. Il est donc possible de considérer que la cigarette électronique, qui ne contient pas de tabac, est une aubaine pour la santé publique et qu’il suffirait d’en favoriser l’essor.

La Commission européenne va refaire la même erreur

Las, la commission européenne ne voit pas les choses ainsi et se prépare à récidiver la mésaventure des snus sur la base des deux mêmes arguments, dangerosité supputée et protection des jeunes :

    *dans un premier temps, la commission a intégré la cigarette électronique dans son projet de directive sur les produits du tabac du 21 juin 2013 alors qu’elle ne contient pas du tout de tabac. Elle a demandé qu’elle soit considérée comme un dispositif pharmaceutique ;
    *dans un deuxième temps, le 8 octobre 2013, le parlement européen, à l’écoute des 7 millions de vapoteurs du continent, a maintenu la cigarette électronique dans une logique de produit d’usage courant, favorable à l’essor du marché actuel, tout en laissant la porte ouverte à l’industrie pharmaceutique ;
    *dans un troisième temps, la commission, en charge de rédiger le texte définitif, se prépare à publier le 3 décembre une version complètement remaniée dans laquelle la cigarette électronique ne serait plus un produit de consommation courante, mais un produit du tabac ou un médicament.

Pour enfoncer le clou sont interdits les modèles actuels qui font le succès de la cigarette électronique aujourd’hui en France, c’est-à-dire les modèles rechargeables, le libre choix des arômes, etc.

Casser le marché libre pour favoriser le tabac

Autrement dit, cette nouvelle version de la directive casserait le marché libre qui prévaut actuellement en France au bénéfice des fumeurs, pour favoriser dans tous les cas l’industrie du tabac. En effet, le parlement en dernière lecture ne peut plus modifier le texte et ne peut que voter Oui ou Non.

S’il vote Oui, il aura de facto détruit le marché actuel et préparé celui des industriels du tabac. C’est ainsi que les modèles Vype de British American Tobacco, et Vuse de Reynolds, pour ne citer que ceux-là, correspondent en tout point à cette nouvelle version de la directive. S’il vote Non, ce sont toutes les autres mesures anti-tabac qui constituent le reste du texte qui tomberaient.

La France doit agir

La France avait déjà anticipé ce piège en exprimant sa position après le projet de directive du 21 juin sur les produits du tabac en affirmant son regret « qu’il n’y a pas eu d’accord à ce stade sur l’exclusion des clauses au sujet des cigarettes électroniques. »

C’est bien ce message lucide et soucieux de la santé des populations que la France doit affirmer de nouveau en demandant que l’article 18 soit exclu du vote et fasse l’objet d’une directive spécifique. À minima, cette prise de position favoriserait la création ultérieure de deux directives, une sur le tabac, qui est prête, et une sur la cigarette électronique à refaire.

Une telle prise de position permettrait à la France de mettre en place une politique ambitieuse de réduction du nombre des fumeurs, et des décès du tabac, en intégrant la cigarette électronique comme un moyen efficace d’y parvenir.
"

Ne noyez pas naïf, l'Europe souhaite seulement que le Tabac puisse continuer à faire rentrer de l'argent dans les caisses, sans se soucier une seconde de la vie de son peuple.

Si vous souhaitez nous contacter, n'hésitez pas à vous rendre sur votre boutique en ligne :
http://www.top-cigarette-electronique.com/

Notre équipe reste à votre disposition si vous avez besoin de conseil, de suivi, dans votre démarche d'arrêt du Tabac.

Cordialement,
L'équipe TOP CIGARETTE ELECTRONIQUE

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